Bigre

de Pierre Guillois
co-écrit avec Agathe L’Huilier et Olivier Martin-Salvan

Il était une fois, aujourd’hui,
trois petites chambres de bonnes
haut perchées sous les toits qui dominent Paris.
Un gros homme, un grand maigre et une blonde pulpeuse sont voisins de couloir.

L’histoire serait joliment romantique si ces trois hurluberlus n’avaient comme particularité de tout rater. Absolument tout. Les catastrophes s’enchaînent, les gags pleuvent, tandis que ces trois fantoches s’accrochent à tout ce qui ressemble à l’amour, à la vie ou à l’espoir.

Grâce à une machinerie digne du grand guignol, les objets volent, les corps valdinguent et tout l’étage est chahuté par divers incendies, fuites, tempêtes et autres sinistres délirants qui finissent en un chaos étourdissant.

Attachants au possible, risibles et irrésistibles, nos trois anti-héros nous émerveillent autant qu’ils nous font pleurer… de rire.