Sacha Danino

Dans l’ordre chronologique (pour être honnête, j’ai un peu oublié les dates et les années. N’y voyez aucune négligence, juste un manque de professionnalisme certain !) :
Le Tour du monde en 80 jours (Café de la Gare, Splendid) : dix ans de représentations sans interruption et une reprise en 2019 au Théâtre de la Tour Eiifel. Avec le 6 juin 1944, ce fut le plus grand événement depuis la chute du mur de Berlin !

Mission Florimont (Tristan Bernard, Michel, Comédie de Paris) : quatre saisons de folie, d’amour, de joie et d’exubérance…mais avec très peu de sexe !

Mascarade (Théâtre Galabru) : ma petite brise de printemps…

On est tous portés sur la question (Mélo d’Amélie) : triomphe planétaire dans le 2e arrondissement de Paris.

Avatar (film, 2009) : avec les droits d’auteur que j’ai touché j’ai enfin pu emmener ma mère en Picardie. Son rêve…

Dernier coup de ciseaux (Mathurins) : neuvième saison et un Molière, s’il vous plaît !

Coup de théâtre(s) (Gaîté Montparnasse) : en toute objectivité, j’ai beaucoup aimé !

Ne pas donner à manger au conférencier (Mathurins) : regardons la vérité en face, ce fut un four !

Sans rancune (Palais royal) : après Hamlet et Le Soulier de satin, très certainement la plus grande comédie du siècle !

Pour que nos couleurs brillent encore

La dame blanche (Palais Royal) : beaucoup de plaisir !

Chapitre XIII : flippant !

L’embarras du choix né en plein COVID.

+ Projet de séries (6x52 minutes) avec TF1 : adaptation de Les Sous doués passent le Bac. Un an de travail pour rien. Pourquoi ? J’ai couché avec la responsable fiction de la chaîne. Malheureusement je ne voulais pas quitter Monica Bellucci avec qui je vivais depuis deux ans. Elle a donc préféré partir, seulement il lui était insupportable de me voir chaque jour. Ce que je comprends. Elle a donc fait un choix (douloureux) et…

+ Projet de programme court avec M6 : L’Histoire contre-attaque. Une autre année de travail pour rien. Aucune diffusion. Pourquoi ? Ils ont préféré mettre Jamel Debbouze (qui porte bien son nom) à notre place, soi-disant parce qu’il était plus bankable. Seulement, il connaissait et appréciait autant l’histoire de France que Reinhard Heydrich aimait le yiddish. Du coup, leur version n’a pas trouvé son public et voilà pourquoi…