Été 1960. Adolf Eichmann est détenu à Jérusalem après son kidnapping en Argentine par le Mossad. À travers la confrontation entre l’ancien nazi et une psychologue israélienne, la pièce explore avec justesse les mécanismes qui ont abouti à la Shoah, tout en interrogeant notre capacité de résistance à la barbarie. La tension psychologique de ce face à face, qui rappelle parfois celle du film « Le silence des agneaux », révèle progressivement les étapes qui ont mené Eichmann à participer activement à cette logique de destruction. La pièce basée sur les archives du procès est aussi un prétexte pour sonder l’âme humaine et saisir comment s’opère la bascule vers la haine et l’antisémitisme.

La presse internationale en parle :


Harold Pinter : « FREED possède une imagination flamboyante. Je lui tire mon chapeau » ; The Guardian : « Texte plein de passion » ; Royal Shakespeare Company : « intense et dangereux… » ; Gate Theater : « Remarquable » ; Los Angeles Times : « L’auteur traque l’horreur et l’humanité de notre civilisation »